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Cлово "MINCE"


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1. Une fin (Конец)
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 30, 31 июля 1, 2 августа (11, 12, 13, 14 августа) 1849 г.
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3. Тургенев И. С. - Редактору "Le Nord", 17 (29) января 1858 г.
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Une fin (Конец)
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Часть текста: de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la canicule qu’elle est réchauffante pendant les plus grands froids de l’hiver. Alexieïtch (l’on nommait ainsi mon hôte) s’était assis à côté de moi pour prendre une tasse de thé que je lui avais offerte par courtoisie et qu’il avait acceptée par politesse. Nous causions des...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 30, 31 июля 1, 2 августа (11, 12, 13, 14 августа) 1849 г.
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Часть текста: maternite, j'ai une famille! Trois charmants petits jumeaux, doux, caressants, gentils, que je nourris moi-meme et que je soigne avec un veritable plaisir. - Ce sont trois petits levreaux que j'ai achetes a un paysan. Pour les avoir j'ai donne mon dernier franc! - Vous,ne sauriez croire combien ils sont jolis et familiers. - Ils commencent deja a grignoter les feuilles de laitue que je leur presente, mais leur nourriture principale est du lait. - Us ont l'air si innocent et si drole quand ils relevent leurs petites oreilles. Je les tiens dans la cage, ou nous avions mis le herisson. Ils viennent a moi des que je leur tends les mains, ils grimpent sur moi, ils me farfouillent dans la barbe avec leurs petits museaux, ornes de longues moustaches. - Et puis ils sont si propres; tous leurs mouvements sont si gentils. Il y en a un surtout, le plus gros qui a un air grave a mourir de rire. - Il parait que je suis devenu non seulement mere, mais vieille femme - car je rabache. - Malheureusement ils seront deja assez grands le jour de votre arrivee; ils perdront de leur grace. - Enfin, je tacherai qu'ils fassent honneur a mon education. J'ai...
3. Тургенев И. С. - Редактору "Le Nord", 17 (29) января 1858 г.
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Часть текста: que dans celui, j'ose le dire, de votre propre journal, de rectifier quelques insinuations malveillantes à l'êgard du parti soi-disant slave, qui se sont glissêes dans la correspondance de Moscou insêrêe dans le No du "Nord" du 22 janveir. Etranger à ce parti, et par mes idêes et par ma carrière littêraire, je ne saurais pourtant admettre, avec votre correspondant, que c'est par un esprit d'opposition aux rêcentes et nobles aspirations du gouvernement que les personnes qui reprêsentent le parti slave se sont abstenues d'assister au banquet donnê à Moscou le 9 janvier, en honneur de l'êmancipation du travail, proclamêe par l'Empereur. Personne n'ignore en Russie, que dans cette importante question, le gouvernement marche d'accord avec la pensêe du pays entier. Aucune fraction littêraire ou politique ne saurait ni ne voudrait lui refuser son concours, quelque mince qu'en puisse être l'importance. Les Slaves ne sont jamais restês êtrangers au mouvement qui se prêpare: bien plus, ils y ont contribuê et continuent encore à le faire dans la mesure de leurs moyens; et certainement personne en Russie ne voudrait leur contester ce mêrite. Pourquoi donc leur prêter aux yeux de l'êtranger des idêes autres que les leurs? Et pourquoi affecter devant l'Europe une dêsunion qui, heureusement, n'existe pas dans la rêalitê? Les preuves d'êquitê que vous avez toujours donnêes à l'êgard de notre pays, le soin que vous mettez à faire con J naître à l'Europe l'entière vêritê sur la Russie, me sont* des garants, Monsieur, que vous accueillerez dans vos colonnes une rêclamation dictêe uniquement par l'amour, de la justice et êtrangère à tout esprit ou...