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Cлово "HESITATION"


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1. Une fin (Конец)
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 18(30) ноября 1863 г.
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1. Une fin (Конец)
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Часть текста: au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 18(30) ноября 1863 г.
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Часть текста: de mon oncle y sont pour beaucoup - mais vous imaginez-vous Feth gardant cet argent pendant cinq semaines -- et finissant par me l'envoyer à trois mois de date et par un banquier de Moscou, parfaitement inconnu? Et tout cela parce que - comme il me l'écrit: "Comment envoyer à Bade une traite sur Paris? Il faudrait donc vous obliger de faire le voyage de Paris? - Et à Francfort on vous aurait payé en florins, ce qui vous aurait gêné?" 2 Voilà où l'on en est en Russie! Pour que le plaisir soit complet, mon rhume est devenu une grippe. Je vais mieux aujourd'hui, mais je ne pourrai sortir que demain! - Voici donc trois jours complètement perdus - et mon arrivée à Bade retardée d'autant. - Vous dire combien cela m'est agréable - est, je crois, superflu,-- Si le diable ne s'en mêle, je quitterai ce charmant Paris jeudi matin pour arriver à 10 heures du soir à Bade. - Je n'ai pu voir qui que ce soit - ni les Tourguéneff ni Mme Delessert ni Mme Duloup; la visite à l'ambassadeur 3 , etc. tout cela est remis. - Les princes Troubetzkoï et Orloff sont venus me voir: ils sont revenus de Bellefontaine et installés rue de Clichy. - Le bon Pomey a passé la soirée d'hier avec moi. - Je dois vous avouer que je suis d'une humeur de chien (de Pégase) - et que je dis toutes sortes d'impertinences à Paris et à mon misérable corps, toujours enchanté d'accrocher...