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Cлово "VEHEMENCE"


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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, Около (после)] 3 (15) мая 1848 г.
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2. Une fin (Конец)
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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, Около (после)] 3 (15) мая 1848 г.
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Часть текста: de la Pologne. Je m'approchai; ce qu'il disait etait fort violent et fort plat; cependant, on l'applaudit beaucoup. J'entendis dire pres de moi que c'etait l'abbe Chatel. Quelques instants plus tard, je vis arriver de la place de la Concorde le general Courtais, monte sur son cheval blanc (a la La Fayette 2 ); il s'avanca dans la direction des boulevards on saluant la foule et se prit tout a coup a parler avec vehemence et force gestes; je ne pus entendre ce qu'il dit. Il retourna ensuite par ou il etait venu. Bientot parut la procession; elle marchait sur seize hommes de front, drapeaux en tete; une trentaine d'officiers de la garde nationale de tous grades escortaient la petition: un homme a longue barbe (que je sus plus tard etre Huber) s'avancait en cabriolet. Je vis la procession se derouler lentement devant moi (je m'etais place sur les marches de la Madeleine) et se diriger vers l'Assemblee nationale... Je ne cessai de la suivre du regard. La tete de la colonne s'arreta un instant devant le pont do la Concorde, puis arriva jusqu'a la grille. De temps a autre, un grand cri s'elevait: "Vive la Pologne!" cri bien plus lugubre a entendre que celui de: "Vive la Republique!" l' o remplacant...
2. Une fin (Конец)
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Часть текста: un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la canicule qu’elle est réchauffante pendant les plus grands froids de l’hiver. Alexieïtch (l’on nommait ainsi mon hôte) s’était assis à côté de moi pour prendre une tasse de thé que je lui avais offerte par courtoisie et qu’il avait acceptée par politesse. Nous causions des...