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Cлово "RUDE"


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1. Несчастная (глава 17)
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2. Тургенев И. С. - Тургеневой Полине, 29 июня (11 июля) 1858 г.
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3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 20 января (1 февраля) 1858 г.
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4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 29, 30 марта (10, 11 апреля) 1867 г.
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5. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 4, 5(16, 17) июня 1867 г.
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6. Тургенев И. С. - Редактору "Le XIX-e Siecle", 3/15 декабря 1879 г.
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7. Une fin (Конец)
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8. История одного города. Издал М. Е. Салтыков. С. -Петербург, 1870
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Несчастная (глава 17)
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Часть текста: в его деревенском доме, в небольшой комнате второго этажа. Со мной вместе живет мать моя, еврейка, дочь умершего живописца, вывезенного из-за границы, болезненная женщина с необыкновенно красивым, как воск бледным лицом и такими грустными глазами, что, бывало, как только она долго посмотрит на меня, я, и не глядя на нее, непременно почувствую этот печальный, печальный взор, и заплачу, и брошусь ее обнимать. Ко мне ездят наставники; меня учат музыке и зовут меня барышней. Я обедаю за господским столом вместе с матушкой. Г-н Колтовской - высокий, видный старик с величавою осанкой; от него всегда пахнет амброй. Я боюсь его до смерти, хоть он зовет меня Suzon и дает мне целовать, сквозь кружевную манжетку, свою сухую жилистую руку. С матушкой он изысканно вежлив, но беседует и с нею мало: скажет ей два-три благосклонные слова, на которые она тотчас торопливо ответит,- скажет и умолкнет, и сидит, с важностью озираясь кругом и медленно перебирая щепотку испанского табаку в золотой круглой табатерке с вензелем императрицы Екатерины. Девятый год моего возраста остался мне навсегда памятным... Я...
2. Тургенев И. С. - Тургеневой Полине, 29 июня (11 июля) 1858 г.
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Часть текста: - et au moment où nous nous reverrons. Me voici donc chez moi. Ma santê va bien; la maison a êtê repeinte à neuf; les meubles ont êtê recouverts de nouvelles êtoffes; c'est assez propre à prêsent. Le jardiij est superbe - le temps assez beau quoique pluvieux" Dans quelques jours la chasse commence et je vais m'en donner. Tous mes chiens se portent bien et il paraît que le gibier est nombreux cette annêe. J'ai reèu une lettre de Mme Viardot qui m'annonce la triste nouvelle de la mort de M. Scheffer, c'est un coup très rude pour elle 1 . Ecris-moi dès qu'elle sera de retour à Paris et donne-moi des nouvelles de sa santê. Parle-moi aussi un peu de toute la famille, de Mlle Artôt, et de tes camarades, de la famille Tourguêneff et Troubetzkoï. Prêsente mes compliments à Mlle Holling et à Mme Harang. Tâche d'avoir le second prix de piano à la distribution. Suï ce je t'embrasse de bon cœur et bien fort. A bientôt. Ton père J. Tourguêneff. Перевод   с французского:   Спасское. 9 { Так в подлиннике. } июня/29 июня 1858. Спасибо, дорогая девочка, за твое милое письмецо, с адресом, написанным по-Русски, и - право же - очень хорошо! Я рад, что ты хорошо себя чувствуешь, что ты не унываешь. Время разлуки пройдет скорее, чем ты думаешь, особенно если будешь стараться сократить его за работой. Со своей стороны, обещаю тебе...
3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 20 января (1 февраля) 1858 г.
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Часть текста: moi, je me mets à vous êcrire une rêpoose que j'adresse, d'après votre indication, à Paris. J'espère qu'une fois rentrêe dans votre nid, vous aurez trouvê Viardot complètement guêri de son lumbago, qui paraît l'avoir fait beaucoup souffrir. La maison de la rue de Douai avec tout ce qu'elle renferme vous sera doublement chère après une absence de deux mois, toute pleine d'êmotions, de succès et de triomphes que cette absence ait êtê 2 . Jouissez de votre home et reposez-vous sur vos nouveaux lauriers, et moi, je vais, puisque vous le voulez bien, vous raconter un peu ma vie. Il faut avouer qu'elle a êtê pas mal dissipêe, cette vie, dans ces derniers temps. J'ai peu travaillê, mais j'ai vu beaucoup de choses et surtout beaucoup de monde, russe, anglais, etc. Cependant, j'ai trouvê le temps d'êcrire un assez long mêmoire (ceci entre nous) sur la nêcessitê de fonder en Russie un organe spêcial, une revue hebdomadaire, exclusivement destinê à traiter toutes les questions qui se rattachent à la question de l'êmancipation des paysans 3 . La grande majoritê de la noblesse a peur des intentions du gouvernement et se prêpare à faire de l'opposition; le seul moyen de la calmer, tout en lui expliquant les difficultês de la situation, serait d'avoir recours à la publicitê la plus êtendue; mais c'est un moyen auquel toutes les vieilles traditions de notre bureaucratie rêpugnent et je doute fort que mon mêmoire, qui sera pourtant lu en haut lieu, y fasse quelque chose. Enfin, il faut toujours essayer, il en adviendra ce qui pourra. Je crois vous avoir êcrit que j'ai êtê prêsentê à la Gde Duchesse Hêlène. J'ai dêjà eu plus d'une longue conversation avec elle. Causer...
4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 29, 30 марта (10, 11 апреля) 1867 г.
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Часть текста: plus mal. Est-ce vraiment vrai que je m'en vais après-demain î Cela me paraît impossible. Mercredi soir. Eh bien 1 je dois le dire - avec une rude franchise: j'ai eu un très grand succès. J'ai lu le chapitre "Chez Gou-bareff" - vous savez 1 : où il y a tout ce tas de gens qui font des commérages révolutionnaires,-- puis le premier entretien de mon héros avec Potouguine, le philosophe russe 2 . On a beaucoup ri, on a applaudi, j'ai été reèu et reconduit par des battements de mains, vigoureux et una nimes. Il y avais 3 à 4 cents personnes. Ce qui m'a le plus surpris - c'est qu'il paraît que j'ai très bien lu; je recevais des compliments de tous côtés. Tout cela m'a fait plaisir - et j'ai eu surtout du plaisir à penser que je vous le dirai. Et vous, chère madame Viardot, qu'avez-vous fait aujourd'hui à Strasbourg? Vous a-t-on fait une ovation en règle 3 ? Vous me direz tout cela de vive voix. - Oh! que c'est bon de...
5. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 4, 5(16, 17) июня 1867 г.
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Часть текста: 1867 г. 2027. ПОЛИНЕ ВИАРДО 4, 5(16, 17) июня 1867. Париж  Paris, hôtel Byron, rue Laffitte, 16 juin 1867. Dimanche. Chère Madame Viardot, Ouf! voilà le résumé de ma journée... Ça a été rude. Je me suis levé assez tard et j'étais encore à ma toilette, quand mon gendre et son père x sont entrés dans ma chambre; puis est arrivée Paulinette, qui est aussi grasse^ blanche et rose que possible. On a déjeuné à l'hôtel - et on est parti pour l'Exposition 2 . Là j'ai eu le malheur de tomber dans les mains de Grigorowitch, qui, après avoir déclaré à ma fille qu'il était le meilleur cicerone qu'on pût rêver et que c'était lui qui pilotait les rois et les princes à travers l'exposition 3 , s'est mis à nous remorquer à toute vapeur. Cette course effrénée a duré cinq heures. Mes pieds n'en pouvaient plus, j'étais complètement ahuri par ce tohu-bohu de machines, meubles, diamants, émeraudes grosses comme des melons, étoffes de toutes couleurs, cristaux, armes, palais t kiosques, poteries, porcelaines, chevaux, chiens, tableauxj statuesj Chinois et Chinoises, enseignes, waterclosets (j'y suis entré quatre fois - j'ai ce qu'avait le lièvre ou plutôt le fils du lièvre dans ma chanson) etc., etc., etc. 4 Après-demain je retournerai seul à l'Exposition et je ne verrai que ce que je voudrai. Sur tout ce tourbillon ont...
6. Тургенев И. С. - Редактору "Le XIX-e Siecle", 3/15 декабря 1879 г.
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Часть текста: justesse et une force quelquefois un peu rude, mais toujours sincere et grandiose. Cette tendance au vrai, au caracteristique,qui depuis notre grand ecrivain Gogol, a pose son empreinte sur toutes les productions de la litterature russe, se manifeste egalement dans l'art russe sous le pinceau de Vereschaguine. Sans compter ses tableaux indiens, qui ont ete exposes cette annee a Londres et qui y ont fait sensation, j'ai eu la bonne fortune de voir dans l'atelier de mon compatriote quelques tableaux nouvellement peints par lui, et dont le sujet se rapporte a la derniere guerre. Ce sont des scenes militaires, mais pas prises dans le sens chauvin. Vereschaguine ne pense pas a poetiser l'armee russe, a lui raconter sa gloire, mais a rendre tous les cТtes de la guerre, les pathetiques, les grotesques et les terribles aussi bien que les autres, les psychologiques surtout, objet de sa constante preoccupation. Ajoutez a cela un coloris energique, un dessin a la fois naif et correct, et vous ne trouverez pas mes eloges exageres. Il y a telle figure de soldat russe qui est un chef-d'oeuvre d'observation exacte et profonde. Vereschaguine est certainement le peintre le plus original que la Russie ait encore produit, et rien qu'a ce titre, il merite d'attirer l'attention du public parisien. Je me compterais heureux si ces quelques paroles pouvaient y contribuer. Agreez, Monsieur et cher confrere, l'expression de mes sentiments devoues. Ivan Tourgueneff   Перевод   Понедельник, 15 декабря 1879 г. Милостивый государь и дорогой собрат! Художник В. Верещагин, мой друг и соотечественник, намерен выставить в клубе на улице Вольне (бывш. Сент-Арно) довольно большое число картин и этюдов, предметом для которых послужили Индия и последняя война на Балканах. Он длительное время провел в этих странах и сам принял значительное участие ...
7. Une fin (Конец)
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Часть текста: qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la canicule qu’elle est réchauffante pendant les plus grands froids de l’hiver. Alexieïtch (l’on nommait ainsi mon hôte) s’était assis à côté de moi pour prendre une tasse de thé que je lui avais offerte par courtoisie et qu’il avait acceptée par politesse....
8. История одного города. Издал М. Е. Салтыков. С. -Петербург, 1870
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Часть текста: name is Saltykoff (a descendant, by the way, of the ancient family of Moscow Boyars of that name), after having, like many other writers suspected of propagating liberal opinions, undergone his time of persecution and of exile under the Emperor Nicholas, acquired a great deal of popularity by the publication, some fifteen years ago, of a series of sketches called Scenes of Provincial Life (Gubernskie Ocherki) , in which he lashed with indomitable vigour the numerous abuses then current under the name of Government and Justice. Saltykoff’s manner as a satirist somewhat resembles that of Juvenal. His laughter is bitter and strident, his raillery not unfrequently insulting. But, as we have already said, his violence often assumes the form of caricature. Now there are two kinds of caricature: that which exaggerates the truth, as with a magnifying glass, but which never entirely alters its nature, and that which more or less consciously deviates from the natural truth and proportion of fact. Saltykoff indulges in the first kind only, the only admissible one. It is the natural consequence of his character: kind and sensitive at bottom, but superficially rude. At the same time he is very delicate in his perceptions, which have something of instinct and divination about them. He has read much, and above all he has seen much. ...