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Cлово "ROUBLES"


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1. Тургенев И. С. - В контору Штиглица, 21 июля (2 августа) 1843 г.
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2. Un incendie en mer (Пожар на море)
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3. Тургенев И. С. - Тургеневой Полине, 6, 11 (18, 23) января 1860 г.
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4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 19 ноября (1 декабря) 1863 г.
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5. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 29, 30 марта (10, 11 апреля) 1867 г.
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6. Une fin (Конец)
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7. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 28 марта (9 апреля) 1867 г.
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8. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 1(13) апреля 1867 г.
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9. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 24, 26, 28 ноября (6, 8, 10 декабря) 1850 г.
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - В контору Штиглица, 21 июля (2 августа) 1843 г.
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Часть текста: . Je n'ai pas donne de lettre de change a Mr l'Ambassadeur - mais j'en ai donne une a Mr Schickler, et je crois qu'elle se trouve au comptoir de Mr le Baron. Si c'est la le cas, je prie le comptoir de reteniu cette lettre de change pendant le peu de jours qui vont s'ecouler jusqu'au payement definitif. Ce 21 juillet v. s. 1843. J. de Tourgueneff. Перевод   с французского: Прошу контору г-на барона Штиглица 1 отправить половину тех двух тысяч рублей, которые я препровождаю, т. е. тысячу рублей ассигнациями), в распоряжение г-на Арнольда Руге в Дрезден, другая тысяча рублей должна быть отослана в распоряжение г-на. Михаила Бакунина в Цюрих 2 . Я прошу также контору вручить подателю сего вторые векселя, т. е. копии тех двух векселей, которые я прошу послать. Одновременно считаю своим долгом известить контору, что я рассчитываю в очень скором времени уплатить 150 экю с процентами, которые я должен г-ну Шиклеру в Берлине, и 350 экю, которые я должен г-ну русскому послу в Берлине 3 . Я не давал векселя г-ну...
2. Un incendie en mer (Пожар на море)
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Часть текста: vingtaine d’enfants. J’étais très jeune alors, et, ne souffrant pas du mal de mer, je m’amusais beaucoup de toutes les nouvelles impressions. Il y avait à bord quelques dames, remarquablement belles ou jolies. (La plupart sont mortes, hélas!) C’était la première fois que ma mère me laissait partir seul, et j’avais dû lui jurer de me conduire sagement, et surtout de ne pas toucher aux cartes... et ce fut précisément cette dernière promesse qui fut enfreinte la première. Un soir, en particulier, il y avait grande réunion dans le salon commun, entre autres plusieurs banquiers bien connus à Pétersbourg. Ils jouaient chaque soir à la banque (sorte de lansquenet), et les pièces d’or, qu’on voyait alors plus souvent qu’à présent, faisaient un cliquetis étourdissant. L’un de ces messieurs, voyant que je me tenais à l’écart, et n’en sachant pas la...
3. Тургенев И. С. - Тургеневой Полине, 6, 11 (18, 23) января 1860 г.
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Часть текста: - Jusqu'à cet heureux moment, qui, j'ai quelque raison de le croire, arrivera vers la fin du mois d'avril - que Dieu vous garde! 2 Je suis fort content de te savoir dêbarrassêe de tes dettes, chère Paulinette; n'en fais pas trop à l'avenir - ce n'est pas une bonne habitude. Quand on dêpense de l'argent - ce n'est que quand on peut venir en aide à d'autres - qu'il ne faut pas y regarder à deux fois. Du reste, te voilà à flot - et j'espère que jusqu'à mon arrivêe - tu ne t'êchoueras plus. J'espère aussi que Mr Wassilieff va te donner ses leèons avec plus de rêgularitê. J'ai vu Mme Olga il y a quelques jours; je lui ai fait part de ce qu'il y a dans ta lettre à son adresse; elle te garde un bon souvenir - et si elle ne t'êcrit pas aussi souvent qu'elle le voudrait - c'est qu'elle allaite elle-même son enfant, ce qui la fatigue beaucoup. - Ta photographie orne un des murs de son salon. Ma santê ne va ni trop bien ni trop mal. J'ai une espèce de toux nerveuse qui devient surtout forte quand je vais l'air; malheureusement il fait depuis quelques jours un froid horrible - et je suis obligê de faire des courses - nous avons organisê une lecture publique dans un but de bienfaisance et je suis un des principaux "figurants". 3   Ce 11/23 janvier. Cette lecture a eu lieu hier avec un succès extraordinaire. Ton père a êtê applaudi avec rage, ce qui lui a fait prendre une figure d'oie - et balbutier je ne sais quel rèmercîment. C'est agrêable - mais c'est violent. Enfin, le contraire eût êtê dêsagrêable. Le public avait enlevê tous les billets dès la veille; tout le monde a êtê applaudi - et tout le monde --content. Nous...
4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 19 ноября (1 декабря) 1863 г.
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Часть текста: Russes de ma connaissance viennent de recevoir de l'argent à 367 fr. les 100 roubles, ce qui est déjà une jolie dégringolade, et que le change à Pétersbourg est de 377 fr.! Enfin, il ne faut plus y penser 1 ! Je crains tellement quelque nouvelle frasque de ma mauvaise étoile, que je ne veux plus parler du bonheur que je ressentirai en me revoyant à Bade. Toutes vos commissions sont faites et j'emporte une énorme malle pleine de vieux pantalons, torchons, etc., appartenant à l'illustre Botkine 2 ... Allons, portez-vous bien. Mille choses à tout le monde et au revoir. Votre J. T. Перевод с французского: Париж, улица Риволи, 210. Вторник, 1 декабря 1863. Дорогая госпожа Виардо, У меня есть надежда, что я смогу отправиться послезавтра в 8 часов утра. Не говорю больше, чтобы не сглазить. Напомните, пожалуйста, г-же Анштетт, чтобы она в этот день развела огонь в камине и в особенности чтобы послала за мной на вокзал экипаж. Поезд прибывает после 9 ч. вечера, вы можете увидеть это в вашем расписании. Сегодня я начинаю выезжать;...
5. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 29, 30 марта (10, 11 апреля) 1867 г.
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Часть текста: madame Viardot,-- un ouragan de neige souffle, geint, gémit, hurle depuis ce matin à travers les rues désolées de Moscou - les branches des arbres sous mes fenêtres s'entrechoquent et se tordent comme des désespérées, des cloches tintent tristement au travers: nous sommes en plein grand Carême... Quel joli petit temps! quel charmant pays! Je pars dans une heure pour ma lecture, j'aurai un public furieux d'être venu de si loin (tout est loin à Moscou), par une tempête pareille - pour entendre des balivernes... Gare au fiasco! - Enfin, espérons toujours qu'on ne sifflera pas; et si on siffle,-- eh bien, on sera à l'unisson du dehors. Je ne crois pas que j'en dormirai moins bien, ou plus mal. Est-ce vraiment vrai que je m'en vais après-demain î Cela me paraît impossible. Mercredi soir. Eh bien 1 je dois le dire - avec une rude franchise: j'ai eu un très grand succès. J'ai lu le chapitre "Chez Gou-bareff" - vous savez 1 : où il y a tout ce tas de gens qui font des commérages révolutionnaires,-- puis le premier entretien de mon héros avec Potouguine, le philosophe russe 2 . On a beaucoup ri, on a applaudi, j'ai été reèu et reconduit par des battements de mains, vigoureux et una nimes. Il y avais 3 à 4 cents personnes. Ce qui m'a le plus surpris - c'est qu'il paraît que j'ai très bien lu; je recevais des compliments de tous côtés. Tout cela m'a fait plaisir - et j'ai eu surtout du plaisir à penser que je vous le dirai. Et vous, chère madame Viardot, qu'avez-vous fait ...
6. Une fin (Конец)
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Часть текста: rencontré un, et cet individu m’a semblé assez original pour m’engager à en donner une idée à mes lecteurs. C’était au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il...
7. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 28 марта (9 апреля) 1867 г.
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Часть текста: Mr Katkoff me fait de si grandes difficultés pour mon malencontreux roman, que je commence à croire qu'on ne pourra pas le publier dans sa revue - ce qui - 1®) me ferait perdre quelque chose comme 2000 roubles argent - et 2®) retarderait encore mon départ - car il faudrait trouver un autre éditeur soit à Pétersbourg, soit ici--ce qui ne se fait pas en un tour de main. Mr Katkoff veut à toute force faire d'Irène une vertueuse matrone - et de tous les généraux et autres messieurs qui figurent dans mon roman - des citoyens exemplaires. Vous voyez que nous ne sommes pas près de nous entendre. J'ai fait quelques concessions - mais aujourd'hui j'ai fini par dire: halte-là! Nous verrons s'il cédera. Quant à moi, je suis bien décidé à ne plus reculer d'une semelle: les artistes doivent aussi avoir une conscience et je ne veux pas que la mienne me fasse des reproches 3 . Enfin - vous voyez quel embrouillamini que tout cela - et vendredi, coûte que coûte, je dois pourtant partir. Je vous Jure que quand je me verrai enfin à Bade - je pousserai un Ouf ! à faire trembler toutes les montagnes de la Forêt Noire. Cela se gâte aussi - naturellement - du côté de mon oncle. Mais comme il a accepté ma pension, il, a par cela même donné sa démission - et ce n'est plus qu'une affaire de temps avec quelques tiraillements de plus ou de moias 4 . Avec tout cela, le temps est...
8. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 1(13) апреля 1867 г.
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Часть текста: après-demain - cela fait que je pourrai partir dès mardi. C'est un jour plus tard que je ne l'avais espéré... Enfin, patience! Si rien ne m'arrive de fâcheux - les bords de l'Oos me reverrons vendredi le 19 avril 3 . J'enverrai un télégramme de Berlin 4 . Savez-vous que d'après les apparences - le premier habitant de ma maison pourrait bien être un général franèais? On est persuadé ici de l'imminence de la guerre 5 - et cette persuation se traduit entr'autres par une baisse terrible sur nos fonds. J'ai eu beaucoup de peine aujourd'hui à changer 1 500 roubles - à 3 f 25 cent le rouble - et on en donnait 3 f 36 et 38 c - il y a une semaine. On prétend - il est vrai - que tous ces bruits de guerre ne sont après tout qu'une manœuvre de Bourse et que dans une quinzaine de jours le cours s'améliora... "Ma chi lo sa?" J'ai confié le reste de mon argent - 2 000 r à Botkine pour qu'il me l'expédie dans un moment plus opportun. Si la guerre éclate, elle sera terrible - et personne ne peut savoir où et comment cela finira. Espérons que nous n'entendrons le canon à Bade que de loin. La Russie se mettra avec la Prusse - il n'y a aucun doute à cela - ou plutôt elle tiendra l'Autriche en respect 6 . Voilà le coup de grâce de l'Exposition 7 . J'ai passé ma dernière journée à Moscou bien tranquillement chez moi - et ce n'est que le soir que j'ai reèu de Katkoff les dernières épreuves, définitivement arrêtées - je veux dire - comme rédaction 8 . Ces tiraillements m'ont donné sur les nerfs. Les quelques passages supprimés seront...
9. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 24, 26, 28 ноября (6, 8, 10 декабря) 1850 г.
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Часть текста: 28 ноября (6, 8, 10 декабря) 1850 г. 163. ПОЛИНЕ ВИАРДО 24, 26, 28 ноября (6, 8, 10 декабря) 1850. Москва  Moscou. Vendredi 24 novembre/6 decembre 1850. Voici trois jours que je suis ici, chere et bonne Madame Viardot, et c'est a peine si j'ai le temps de prendre la plume pour vous tracer quelques mots a la hate. Ce n'est pas que nous ayons, mon frere et moi, beaucoup de choses a faire -- les scelles ne seront leves que dans une semaine 1 -- mais nous avons tant de choses a debattre, a preparer. C'est une terrible responsabilite qui vient de nous tomber sur les epaules. Ma mere est morte sans avoir pourvu a quoi que ce fut; elle a laisse toute cette foule d'existences qui dependaient d'elle - on peut le dire - sur le pave; il faut que nous fassions ce qu'elle aurait du faire. Ses derniers jours ont ete bien tristes. - Dieu nous garde tous d'une pareille mort. Elle ne cherchait qu'a s'etourdir - la veille de sa mort et tandis que le rale de l'agonie commencait deja - un orchestre jouait des polkas dans la chambre voisine - d'apres son ordre. On ne doit aux morts que respect et pitie - aussi ne vous dirai-je rien de plus. Cependant - comme il m'est impossible de ne pas vous confier tout ce que je ...