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Cлово "REDOUBLE"


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1. Une fin (Конец)
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2. Предисловие к французскому переводу поэмы М. Ю. Лермонтова "Мцыри"
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1. Une fin (Конец)
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Часть текста: de Tourguéneff I Tout le monde le sait, tout le monde le dit, la race des tyranneaux s’est éteinte, ou à peu près, en Russie; cependant je crois en avoir encore rencontré un, et cet individu m’a semblé assez original pour m’engager à en donner une idée à mes lecteurs. C’était au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la canicule qu’elle est réchauffante pendant...
2. Предисловие к французскому переводу поэмы М. Ю. Лермонтова "Мцыри"
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Часть текста: impériale. C’était à l’époque où Pouchkine venait de succomber dans un duel. Lermontoff déplora sa mort prématurée dans une élégie que la Russie entière admira, mais dont quelques vers exprimant je ne sais quelle soif de liberté déplurent en haut lieu. On l’envoya au Caucase. A son retour, au bout de trois ans, il publia un petit recueil de poésies, où se trouvait la pièce que nous offrons à nos lecteurs. Tout le monde lettré s’unit pour saluer en lui le successeur du poète qu’il avait célébré. Mais bientôt à l’occasion d’une dispute avec le fils d’un ambassadeur, on lui donna de nouveau l’ordre de retourner au Caucase. C’est là, qu’à la suite d’une querelle futile, il fut provoqué par un de ses camarades de régiment, et périt comme Pouchkine. C’était en 1841; Lermontoff avait vingt-sept ans. Le petit poème du «Novice» («Mtsyri») est écrit, en vers de huit syllabes, à rimes uniquement masculines, mais alternantes. Cette forme ajoute à la poésie, par sa monotonie même, une énergie singulière. On l’a comparée au travail incessant d’un prisonnier frappant à coups redoublés sur les murs de son cachot. M. Mérimée a bien voulu se charger de la révision de notre traduction: un pareil nom dispense de tout éloge et nous n’avons que des remercîments à lui adresser. Перевод:...