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Cлово "IMPERTINENT"


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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 29 мая (10 июня) 1857 г.
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2. Une fin (Конец)
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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 29 мая (10 июня) 1857 г.
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Часть текста: de Miss Florence Nightingale) 4 , qui est à Londres). Un dîner ennuyeux, puis vers le soir on s'anime. Une dame chante d'une fort vilaine petite voix des vilaines machines anglaises; les messieurs rêpètent le refrain avec des voix de perroquet. Du reste, tous sont très aimables, en vêritê, on me prodigue les invitations, et je remercie tout le monde du mieux que je puis, en faisant des fautes de grammaire à chaque pas. Mr Nightingale est un country gentleman dans toute la force du terme. Sa femme - une bonne petite Vieille; Miss Nightingale, l'aînêe (40 ans passês) a l'air intelligent, bon, actif et nerveux. Les visiteurs sont: 1) Sir Charles Trevilyan, haut employê au Treasury, agrêable, instruit, un peu lourd, mais en somme fort sympathique; il a conservê quelque chose de naïf; 2) sa femme t sœur du cêlèbre Macaulay, a witty woman, rieuse et bavarde; 3) sa fille - insignifiante; 4) Mr Denman, capitaine du yacht de la Reine t figure fière et courageuse, peut-être un peu impertinent; 5) sa femme t la chanteuse en question, traits...
2. Une fin (Конец)
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Часть текста: I Tout le monde le sait, tout le monde le dit, la race des tyranneaux s’est éteinte, ou à peu près, en Russie; cependant je crois en avoir encore rencontré un, et cet individu m’a semblé assez original pour m’engager à en donner une idée à mes lecteurs. C’était au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar...