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Cлово "FIT"


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1. Une fin (Конец)
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, Около (после)] 3 (15) мая 1848 г.
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3. Un incendie en mer (Пожар на море)
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4. Предисловие и послесловие к очерку И. Я. Павловского
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5. Затишье (Примечания)
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6. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 14, 15(26, 27) марта 1867 г.
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7. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 7, 8, 9, (19, 20, 21) июля 1849 г.
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1. Une fin (Конец)
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Часть текста: avoir encore rencontré un, et cet individu m’a semblé assez original pour m’engager à en donner une idée à mes lecteurs. C’était au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, Около (после)] 3 (15) мая 1848 г.
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Часть текста: des boulevards ne presentait rien d'extraordinaire; cependant, sur la place de la Madeleine se trouvaient deja 2 a 3 cents ouvriers avec des bannieres. La chaleur etait etouffante. On parlait avec animation dans les groupes. Bientot, je vis un vieillard d'une soixantaine d'annees grimper sur une chaise, dans l'angle gauche de la place, et prononcer un discours en faveur de la Pologne. Je m'approchai; ce qu'il disait etait fort violent et fort plat; cependant, on l'applaudit beaucoup. J'entendis dire pres de moi que c'etait l'abbe Chatel. Quelques instants plus tard, je vis arriver de la place de la Concorde le general Courtais, monte sur son cheval blanc (a la La Fayette 2 ); il s'avanca dans la direction des boulevards on saluant la foule et se prit tout a coup a parler avec vehemence et force gestes; je ne pus entendre ce qu'il dit. Il retourna ensuite par ou il etait venu. Bientot parut la procession; elle marchait sur seize hommes de front, drapeaux en tete; une trentaine d'officiers de la garde nationale de tous grades escortaient la petition: un homme a longue barbe (que je sus plus tard etre Huber) s'avancait en cabriolet. Je vis la procession se derouler lentement devant moi (je m'etais place sur les marches de la Madeleine) et se diriger vers l'Assemblee nationale... Je ne cessai de la suivre du regard. La tete de la colonne s'arreta un instant devant le pont do la Concorde, puis arriva jusqu'a la grille. De temps a autre, un grand cri s'elevait: "Vive la Pologne!" cri bien plus lugubre a entendre que celui de: "Vive la Republique!" l' o remplacant l' i 3 . Bientot on put voir dos gens en blouse monter precipitamment les marches du palais de l'Assemblee; on dit autour de moi que c'etaient les delegues qu'on...
3. Un incendie en mer (Пожар на море)
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Часть текста: cette même raison, beaucoup d’entre eux emmenaient leur chaise de poste pour continuer leur voyage en Allemagne, en Françe, etc. Nous avions, je m’en souviens, vingt-huit voitures de maître. Nous étions bien deux cent quatre-vingts passagers, dont une vingtaine d’enfants. J’étais très jeune alors, et, ne souffrant pas du mal de mer, je m’amusais beaucoup de toutes les nouvelles impressions. Il y avait à bord quelques dames, remarquablement belles ou jolies. (La plupart sont mortes, hélas!) C’était la première fois que ma mère me laissait partir seul, et j’avais dû lui jurer de me conduire sagement, et surtout de ne pas toucher aux cartes... et ce fut précisément cette dernière promesse qui fut enfreinte la première. Un soir, en particulier, il y avait grande réunion dans le salon commun, entre autres plusieurs banquiers bien connus à Pétersbourg. Ils jouaient chaque soir à la banque (sorte de lansquenet), et les pièces d’or, qu’on voyait alors plus souvent qu’à présent, faisaient un cliquetis...
4. Предисловие и послесловие к очерку И. Я. Павловского
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Часть текста: очерку И. Я. Павловского Предисловие и послесловие к к очерку И. Я. Павловского «En Cellule. Impressions D’Un Nihiliste» Vendredi, 17 octobre. Mon cher monsieur Hébrard, Voici un fragment de mémoires autobiographiques qui m’a paru digne d’être communiqué aux lecteurs de votre journal. L’auteur est un de ces jeunes Russes trop nombreux par le temps qui court, dont les opinions ont été jugées dangereuses et punissables par le gouvernement de mon pays. Sans approuver nullement ses opinions, j’ai cru que le récit naïf et sincère de ce qu’il a eu à souffrir pourrait, tout en excitant de l’intérêt pour sa personne, servir à prouver combien la prison cellulaire préventive est peu justifiable aux yeux d’une saine législation. J’espère que vous serez frappé comme moi par l’accent de vérité qui règne dans ces pages, ainsi que par l’absence de récriminations et de reproches inutiles, sinon déplacés. Vous verrez que ces nihilistes dont il est question depuis quelques temps, ne sont ni si noirs, ni si endurcis qu’on veut bien les représenter. Recevez, mon cher monsieur Hébrard, l’assurance de mes meilleurs sentiments, Ivan Tourguéneff Nous n’avons qu’un mot à ajouter au récit qu’on vient de lire. L’auteur après être resté quatre années en prison, fût jugé et condamné ...
5. Затишье (Примечания)
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Часть текста: по тексту: Т, ПСС, 1883. Выбор источника определен свидетельством самого Тургенева, что тексты тома VII издания 1883 г. были им просмотрены и исправлены до отправки издателю. Тургенев писал 14(26) декабря 1882 г. А. В. Топорову: «Вместе с этим письмом отправляется VII (7-й) исправленный том». В текст, взятый в настоящем издании за основу, внесены следующие исправления по другим источникам: Стр. 382, строки 21–22. …«хороший знакомый, Бодряков, Иван Ильич» вместо «хороший знакомый, Иван Ильич» (по всем другим источникам). Стр. 392, строки 41–42: «какой же это ансамбль» вместо «Нет, это мы» (по всем источникам до Т, Соч, 1874). Стр. 405, строки 41–42. «Ложась спать, он много думал о ней и о Надежде Алексеевне. Впрочем, он бы, вероятно» вместо «Ложась спать, он бы, вероятно» (по всем другим источникам). Стр. 413, строка 37: «не должно бы быть» вместо «не должно быть» (по всем другим источникам). Стр. 424, строки 14–15: … «человек тоже весьма почтенный» вместо: «человек весьма почтенный» (по всем другим источникам). Стр. 425, строка 35: «навстречу своему» вместо «навстречу своего» (по всем другим источникам). Стр. 431, строки 17–18: «то соглашалась, то спорила с ним, притворялась недоверчивой» вместо «то спорила с ним, то притворялась недоверчивой» (по наборной рукописи, Совр и Т, 1856). Стр. 445, строка 31: «схватил один багор» вместо...
6. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 14, 15(26, 27) марта 1867 г.
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Часть текста: chambre et mon intendant 1 . Il y a un chemin de fer qui va d'ici à une ville nommée Serpoukhoff - à 90 verstes de Moscou; un traîneau couvert m'y attendait pour continuer le voyage. Je ne me sentais pas bien dès le matin; à peine établi dans un wagon, je fus pris par une toux violente qui ne fit que croître et embellir; arrivé à la gare de Serpoukhoff qui se trouve à 4 verstes de la ville, je m'installai pourtant dans mon traîneau; mais grâce aux épouvantables oukhabi (vous savez ce que c'est) de ces affreuses 4 verstes, j'atteignis Serpoukhoff avec une vraie fièvre de cheval. Impossible de songer à continuer le voyage. Je passai une nuit blanche dans une misérable chambre d'auberge avec 100 pulsations à la minute et une toux qui me brisait la poitrine et dès 7 heures du matin, je dus dans ce triste état me soumettre de nouveau à la torture des "oukhabi" et regagner plus mort que vif le chemin de fer et Moscou. La maison deMasloff me sembla un vrai paradis après cet enfer 2 -- j'envoyai vite chercher un médecin - et grâce aux sudori-fiques, purgatifs et autres médicaments me voici aujourd'hui capable de vous écrire et de vous raconter mes misères. Cela n a été qu'une assez forte bronchite - dans trois ou quatre jours il n'y paraîtra pas. Mais voyez le contretemps! Le voyage de Spasskoïe est plus indispensable que jamais - j'ai envoyé mon intendant prendre des devants - il faut que je recommence ma tentative - et nous sommes ici en Russie, à la veille du temps où toutes les communications cessent grâce à la fonte des neiges. Si mon oncle voulait être raisonnable et laisser les choses s'arranger par écrit! Mais il ne le sera pas, ne le voudra pas. J'ai pourtant...
7. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 7, 8, 9, (19, 20, 21) июля 1849 г.
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Часть текста: ca n'a pas ete sans peine. Nous avons travaille comme des negres pendant deux jours - et j'ai le droit de dire '-- nous - car j'en sais aussi quelque chose. Si vous m'aviez vu - hier surtout - crotte, mouille - mais radieux! - Les joncs etaient tres longs et tres difficiles a arracher - d'autant plus difficiles qu'ils etaient plus cassants. Enfin - la chose est faite. - Depuis trois jours je suis seul a Courtavenel - eh bien je vous jure que je ne m'y ennuie pas. Le matin je travaille - beaucoup, je vous prie de le croire et je vous en fournirai la preuve - je me promene - je dejeune a 9 h., je dine a 6 - le soir je lis - je ne me couche jamais avant dix heures. - Maintenant que j'ai nettoye vos fosses - je pense a d'autres perfectionnements: mais ceux-la seraient bien plus couteux. - Savez-vous, par exemple ce que je ferais a votre place?-- On dit que la ferme de la Vicomte est en mauvais etat; vous ne tirez aucun parti de celle qui avoisine La maison. Voici donc mon plan. -    J'aurais abattu la moitie de la ferme pres de la maison ainsi que suit: tout l'espace designe ainsi //// ABCD; avec les materiaux j'aurais fait reparer la Vicomte, remis en etat l'autre moitie de la ferme - (on y aurait...