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Cлово "DETERMINATION"


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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 3 (15) августа 1850 г.
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 9 (21) июня 1850 г.
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3. Un incendie en mer (Пожар на море)
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4. Тургенев И. С. - Виардо Луи, 20 февраля (4 марта) 1851 г.
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 3 (15) августа 1850 г.
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Часть текста: 1850 г. 148. ПОЛИНЕ ВИАРДО 3 (15) августа 1850. Тургенево  Tourguenovo, le 3/15 aout 1850. M'oubliez-vous, mes chers amis - ou bien vos lettres se perdent-elles? - Voila bientot un mois que j'ai recu votre derniere lettre 1 , chere Madame Viardot - (a Moscou) - et depuis ce temps - rien, plus rien. - Je n'ai pas meme encore recu de reponse a la lettre dans laquelle je vous annoncais mon arrivee a Petersbourg 2 . A l'heure qu'il est, vous devez etre a la veille de quitter Londres (je vous ecris a Gourtavenel) - et je ne sais meme pas si vous avez chante "La Juive". - Une pareille distance est une cruelle et vilaine chose. - J'espere que vous vous portez bien, que vcus avez de beaux succes, que vous ne m'oubliez pas... Pour moi, je ne cesse de penser a vous. - C'est pour le coup que vous etes Consuelo pour moi - ma consolation 3 . - Vous savez la determination que j'ai prise par rapport aux biens de ma mere; il parait que depuis ce temps elle a eu des remords de ce qu'elle a fait; du moins, elle m'a fait faire par l'entremise de mon frere - des offres, comme si dans toute cette penible affaire je n'avais eu que mes interets en vue! - Cette facilite de supposer le mal, l'egoisme, la petitesse dans les autres m'epouvante pour ceux auxquels ces pensees viennent - ils jugent donc des autres par eux-memes. Piensa mal y acertaras - c'est...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 9 (21) июня 1850 г.
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Часть текста: le coeur! Allons - il ne faut plus y penser - et cependant je ne saurais parler d'autre chose. Je le pourrai, une fois de retour en Russie, mais ici, maintenant, cela m'est impossible... J'ai ecrit aujourd'hui au bon Gounod et a tous les habitants de Courtavenel, de ce cher Courtavenel, qui me semble maintenant le plus bel endroit de la terre, et dont je garderai le souvenir aussi longtemps que je vivrai. Quand le reverrai-je? Quand vous reverrai-je? Il faut esperer - pas trop tard. Il y a longtemps de cela vous m'avez montre un air compose par votre soeur, encore toute jeune, sur ces paroles de Metastase: "Ecco il un fiero istante" 3 . Je me rappelle, j'en ai ete frappe alors comme d'un lugubre pressentiment. Depuis quelques jours ces mots ne me sortent plus de la tete. Addio, addio. Voila que ce mot: addio reveille en moi un autre souvenir: j'etais a Rome pendant le carnaval de 1840. Je traversais une petite rue isolee, quand tout a coup j'appercus sur le seuil d'une porte une belle fille en costume ...
3. Un incendie en mer (Пожар на море)
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Часть текста: vingt-huit voitures de maître. Nous étions bien deux cent quatre-vingts passagers, dont une vingtaine d’enfants. J’étais très jeune alors, et, ne souffrant pas du mal de mer, je m’amusais beaucoup de toutes les nouvelles impressions. Il y avait à bord quelques dames, remarquablement belles ou jolies. (La plupart sont mortes, hélas!) C’était la première fois que ma mère me laissait partir seul, et j’avais dû lui jurer de me conduire sagement, et surtout de ne pas toucher aux cartes... et ce fut précisément cette dernière promesse qui fut enfreinte la première. Un soir, en particulier, il y avait grande réunion dans le salon commun, entre autres plusieurs banquiers bien connus à Pétersbourg. Ils jouaient chaque soir à la banque (sorte de lansquenet), et les pièces d’or, qu’on voyait alors plus souvent qu’à présent, faisaient un cliquetis étourdissant. L’un de ces messieurs, voyant que je me tenais à l’écart, et n’en sachant pas la raison, me proposa brusquement de prendre part à son jeu. Comme, avec la naïveté de mes dix-huit ans, je lui expliquai...
4. Тургенев И. С. - Виардо Луи, 20 февраля (4 марта) 1851 г.
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Часть текста: gre de l'interet que vous me temoignez. Je concois bien tout ce qu'il y a de hasarde dans ma determination de confier le soin de mes affaires a un autre, mais vu mon incapacite absolue dans ces sortes de choses et ne pouvant pas, par des raisons trop longues a dire, m'en rapporter pleinement a mon frere (non que j'aie les moindres soupcons sur sa parfaite probite) - je crois que ca a ete une bonne fortune pour moi de tomber sur un homme dont le nom seul, pour tous ceux qui le connaissent, est le synonyme de la plus chevaleresque loyaute. De plus, il m'est attache de coeur et je puis vous assurer qu'il y a bien peu de personnes pour lesquelles il serait dispose de faire ce qu'il va faire pour moi 2 . Votre autre conseil est tout aussi excellent et je me propose bien d'en profiter avec le temps; mais pour le moment, je n'ai pas un rouble de disponible, et tout l'argent que nous pourrons mettre de cote pendant cette annee (fort mauvaise d'ailleurs) sera employe a effectuer notre partage, chose qui coute cher en Russie 3 . Si le Petit Paris reste sans acheteur jusqu'a l'annee prochaine, je connais bien quelqu'un qui s'en accommodera volontiers 4 . L'air de la Brie m'est bon et sain de toutes les facons - reste a savoir quand il me sera permis de le respirer. Je vous envoie ci-joints 12 cents francs, c'est-a-dire unj annee des frais d'education de la petite Pauline que je recommande a votre bienveillante protection. Tout ce que votre femme et vous avez deja fait pour cette pauvre petite est empreint au plus profond de mon coeur et il n'y a rien de plus doux que la reconnaissance quand on la ressent pour ceux qu'on aime et qu'on estime et vous n'avez pas fait un ingrat - je vous en reponds et ne serai heureux quo quand je pourrai vous le prouver. J'attends avec impatience vos "Arabes" 5 , j'en parlerai dans les deux revues ou je travaille - je verrai - peut-etre que j'en ferai faire une traduction abregee 6 . Le...